Novethic le 24 décembre
Des survivalistes.
L'ONU
appelle cela "l'apartheid climatique". Depuis quelques mois, face aux
impacts réels du changement climatique, les super-riches investissent
dans des bunkers qui purifient l'air, dans des services médicaux
spécialisés, ou prévoient, grâce à des entreprises privées, leur
évacuation en cas de problème, raconte le Financial Times. Alors que les
plus pauvres subissent directement les effets de la crise climatique,
les super-riches, eux, pourraient y échapper.