Reporterre le 08 mars
L’écoféminisme a bonne presse ? Prenons garde à ne pas l’« aseptiser ». Un exemple, selon Jeanne Burgart Goutal, spécialiste du mouvement : « On parle des sorcières, mais pas de l’histoire des luttes contre l’extractivisme, bien souvent menées par des femmes. » En parlant d’interconnexions entre toutes les luttes — féministe, écologistes, antiracistes...— l’écoféminisme remet en cause le système dominateur dans son ensemble.