la mule du pape le 14 mai
« Le
fait, publiquement ou non, d’exercer des sévices graves, ou de nature
sexuelle, ou de commettre un acte de cruauté envers un animal
domestique, ou apprivoisé, ou tenu en captivité, est puni de deux ans
d’emprisonnement et de 30 000 euros d’amende. » Voilà ce que dit
l’article 521-1 du code pénal concernant les actes de cruauté envers les
animaux. Pourtant, une pratique répandue dans le sud de la France fait
exception.
Lire la suite et accéder à une vidéo de 15' présentant la lutte du COLBAC ( Comité de Liaison Biterrois pour l’Abolition de la Corrida)