La Dépêche du Midi le 16 août
Il
ne peut pas y avoir de libération de la nature sans libération des
femmes et inversement. Tel est le postulat de départ de Florence Benoït,
une Toulousaine amenée à intervenir sur l’écoféminisme, le samedi 14
août à partir de 14 h 30, lors des Rencontres nationales de la
décroissance, qui se tiennent à Montferrier. « Avoir associé la nature
au féminin est une construction sociale masculiniste », explique la
conférencière à deux jours du Jour J. Devant elle, le livre culte de
Françoise d’Eaubonne, la première à avoir employé le terme
d’écoféminisme dans les années 70.