20 minutes le 10 septembre
Un projet tentaculaire, dont les ramifications amènent sur le terrain économique, énergétique et environnemental. Des opposants de tous bords, à commencer par les écologistes. Mais au final « une seule question qu’il faut se poser » résume Jacques Archimbaud, président de la commission particulière du débat public (CPDP) missionnée pour le projet Horizeo : « Faut-il raser une forêt de 1.000 hectares, pour fournir à bas coût de l’électricité renouvelable à des industriels ? »