lundimatin le 22 novembre
« Nous voulons partager notre passion pour
Lucrèce, nous voulons le lire dans la rue, nous voulons écrire son nom
sur les murs, copier ses vers dans les toilettes publiques ou sur les
murs des réseaux sociaux, parce que c’est ce
malheureux, immense, humble poète qui nous dit que, dans le passage
répétitif des jours, dans le temps vide et homogène, dans la désolation
qui fut la sienne, qui est la nôtre, il est possible que quelqu’un
s’arrête, commence à tourner sur lui-même. »