Si le rapport du GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur
l’évolution du climat, de l’ONU), rendu public le 23 juin, puis celui
plus récent encore du 9 août ont eu la couverture médiatique justifiée
par les enjeux, il en est malheureusement autrement des rapports de
l’IPBES (l’équivalent du GIEC pour la biodiversité).