Wellfarm en février 2017
Chevaux blessés et laissés sans soins, trafics de chevaux volés
(Argentine) et de chevaux introduits en contrebande (Uruguay),
encadrement réglementaire des transports très insuffisant ou inexistant,
pratiques d’abattage inacceptables... La liste des souffrances est
longue. Or, au moins les deux-tiers de la viande chevaline consommée en
France provient d’importations, notamment du continent américain.
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