Médiapart le 08 juillet
D’après les experts des Nations unies, 70 % des plus pauvres de la
planète sont directement tributaires des plantes et des animaux sauvages
pour vivre. L’accélération de la crise de la biodiversité, qui menace
d’extinction un million d’espèces, met en péril ces contributions des
écosystèmes aux besoins des plus précaires.