Frustration le 22 juillet
Mickaël Correia propose une écologie du rapport de force, qui désigne
des responsables et propose donc des leviers d’actions autre que le
désespoir ou la complaisance : deux positions généralement tenus par la
partie aisée de la population. Grâce à ses travaux, on sait désormais
que la révolution sera écologique ou ne sera pas et que l’écologie sans
révolution et démantèlement du capitalisme fossile, c’est du macramé.