Gilles Rotillon dans le Club de Médiapart le 15 août
Dans la première partie de ce texte j’ai traité des apories que créait
l’approche des économistes académiques dans leur unanimité affirmée de
leur traitement du réchauffement climatique. Je voudrais ici proposer
une tout autre analyse tant de ses causes que des orientations qui
permettraient de réellement s’écarter de l’impasse où nous entrainent
leurs propositions.