Novethic le 29 novembre
La surexploitation des espèces sauvages constitue l’une des causes
majeures de disparition de la biodiversité, après la perte d'habitat et
le changement climatique. C’est pourquoi la conclusion de la COP sur le
commerce international des espèces de faune et de flore sauvages
menacées d’extinction, vendredi 25 novembre, constitue une avancée
majeure. Elle a permis de protéger des centaines d’espèces
supplémentaires, parmi lesquelles les requins et les raies. Une première
étape avant la COP15 sur la biodiversité qui s’ouvre à Montréal le 7
décembre prochain.