Manuel Gari dans Contretemps le 24 novembre
Avec
la catastrophe qui touche le vivant, c’est à de « véritables dilemmes
civilisationnels » que l’humanité est confrontée. Dans cet article,
Manuel Gari décrit précisément la prédation et le pillage nés d’un
capitalisme pétrolier et s’interroge : peut-on vraiment imaginer changer
le modèle énergétique en laissant intacte la structure même du capital ?
Peut-on vraiment concevoir un abandon de l’utilisation des combustibles
fossiles en préservant la propriété privée des oligopoles ? Évidemment
la réponse est « non » et Manuel Gari analyse les conditions d’une
planification démocratique, certes, titanesques mais seules
envisageables, pour échapper au désastre.