France 24 le 27 janvier
Au moins 38 % de la forêt amazonienne pourrait avoir été dégradée par
l'activité humaine et la sécheresse, selon deux études scientifiques
publiées jeudi. Alors que l'opinion publique s'est surtout concentrée
sur sa déforestation, les impacts indirects de la sécheresse, des
incendies et de l'exploitation forestière sélective sans déforestation
peuvent être bien "plus graves". Une situation urgente que le Brésil
vise lors du sommet des pays d’Amazonie.