20 minutes le 27 janvier
Ses
trajets étaient surveillés. Le porte-parole du collectif « Bassines non
merci », qui milite contre la construction de retenues d’eau pour
l’irrigation agricole dans les Deux-Sèvres, a révélé avoir découvert un
traceur GPS de la police sur son véhicule, en dénonçant vendredi des «
barbouzeries ». Interrogée par l’AFP, la préfecture du département a
confirmé que le dispositif découvert avait été placé à des fins de
surveillance policière.