Pressenza le 17 février
L’Accord Kunming-Montréal sur la Biodiversité Globale a apporté les
pièces indispensables pour qu’il y ait financiarisation, à savoir que
les éléments du monde naturel soient considérés essentiellement comme
des biens économiques, donc appropriables par des sujets privés et, en
particulier, gérés par de entreprises cotées en Bourse.