Blog de Marc Bonhomme sur ESSF le 12 février
Pour les tenants du capitalisme vert, la solution purement technologique
à la crise climatique consiste à parachever la révolution électrique du
début du XXe siècle qui s’était fait
damer le pion par le moteur à explosion pour les transports faute d’une
batterie bon marché, un échec de Thomas Edison [1],
tout en ayant besoin des combustibles fossiles comme énergie primaire
sauf la marginale hydroélectricité et au milieu du siècle l’électricité
nucléaire restée tout aussi marginale et devenue toxique [2] malgré d’initiales faramineuses promesses afin de masquer qu’elle était à la fois paravent et antichambre de l’arme nucléaire.