Nawaat le 15 mars
Dans le gouvernorat de Kebili, à El Faouar, le manque d’eau, l’avancée
du sable, la chute des revenus issus de la culture des
palmiers-dattiers, l’incapacité à investir pour rendre les terres
arables, laisse une grande partie de la population locale sur le
carreau. Et le rêve d’un ailleurs, s’installe progressivement.
Partout où nous irons, le même schéma : un forage, des panneaux solaires
et de nouvelles plantations. Problème : ces extensions présentent une
menace réelle pour la durabilité des écosystèmes avec notamment une
forte pression non contrôlée sur les ressources en eau.