Nawaat le 22 novembre
La Tunisie a été secouée ces dernières années, par des manifestations
contre les importants risques sociaux et environnementaux liés aux
industries extractives. Similaires à celles utilisées pour le gaz de
schiste, les méthodes d’extraction des ressources en pétrole et en gaz
situées dans des couches géologiques profondes, peuvent présenter des
risques de pollution des nappes phréatiques ou de dérèglements
sismiques. Et voici que la société Serinus s’adonne dans notre pays à la
fracturation hydraulique et à l’extraction d’hydrocarbures pouvant être
qualifiés de « non-conventionnels », en l’absence de tout cadre légal.