The Conversation le 01 février
Dans sa quête de modernité, le bâtiment africain s’est malheureusement
coupé de sa tradition bioclimatique séculaire, un ensemble de
savoir-faire qui a permis aux habitants d’affronter des climats parfois
extrêmes. Aujourd’hui, sur le continent, les constructions sont souvent
mal adaptées au climat chaud, thermiquement inconfortables et
énergivores.