franceinfo le 23 octobre
Il n'y a "rien" dans le dossier du Japon qui poursuit le défenseur des
baleines depuis 2012, assure l'un de ses avocats, Me William Julié. Il
dénonce également des conditions de détention "durcies" et n’écarte pas
l’idée de saisir également la Cour européenne des droits de l'homme.