Extraits d'un article du Huffington Post sur MSN le 20 octobre (source)
Le budget du Rassemblement national fait trois principales victimes :
les administrations, les étrangers et la transition écologique. Concernant
la transition écologique, le parti de Marine Le Pen confirme que ce
n’est pas sa priorité. Du tout. Outre un soutien coûteux aux énergies
fossiles, par le biais d’une TVA réduite, le Rassemblement national veut
supprimer le plan vélo, réduire le fonds vert (bien plus que ce que
Michel Barnier envisage), ou retirer 110 millions d’euros de subventions
aux associations œuvrant dans le champ de l’écologie et de la mobilité
durables. Sans
parler de la guerre qu’il veut mener aux énergies renouvelables
(solaire et éolien), en récupérant quelque 6 milliards d’euros de
subvention. Un positionnement là aussi classique à l’extrême droite,
dont les élus sont toujours prompts à dénoncer des installations qui « défigurent » nos paysages.