Yves Guillerault dans le Club de Médiapart le 30 octobre
Dans l’affaire du Doliprane, le pouvoir français joue l’argent public
sur le tapis vert d’une transaction capitaliste, aux côtés d’un fond
vautour américain tout en dégainant la « souveraineté nationale ». Une
opération de com’, approuvée par tout l’arc politique. Cette molécule
générique a vocation à tomber dans les communs, seul gage de
souveraineté et seule réelle richesse des peuples.