Élucid le 25 mars
Les dégradations de l’environnement et du climat – conséquences directes de l’inaction des États – auraient conduit à des dégâts estimés à près de 300 milliards d'euros
de pertes liées aux catastrophes naturelles, rien que l'année dernière.
Un chiffre en hausse de 25 % par rapport à la moyenne des dix années
précédentes. Le coût de l'inaction politique est plus que conséquent :
le réchauffement climatique, qui aura bientôt franchi le cap des +1,5
°C, a d’ores et déjà fait perdre 40 % de pouvoir d’achat par rapport à
un scénario sans réchauffement climatique. Et si les politiques ne
prennent pas rapidement de mesures plus ambitieuses, nous risquons de
subir 50 % de pertes de revenus en plus avec un réchauffement de +3 °C.