Reporterre le 02 avril
« [La France] ne peut pas
continuer à revendiquer sa souveraineté sur des territoires ultramarins,
en niant le fait colonial, tout en continuant à traiter ses habitant⋅es
comme des sous-citoyen nes, s’indigne Nathalie Tehio, présidente de la LDH. Les
personnes subissent non seulement cette discrimination, mais aussi les
conséquences sanitaires de l’empoisonnement de l’eau et de la terre par
le chlordécone, assumé par les différents gouvernements français. »