Reporterre le 04 avril
Désormais tout projet prévoyant la destruction d’espèces protégées n’a
plus besoin de demander une dérogation préalable au préfet, dès lors
qu’il « comporte des mesures d’évitement de réduction » des risques et qu’il intègre un « dispositif de suivi » permettant d’évaluer son efficacité.