À l'encontre ( Robert Lochhead ) le 16 juillet
La merveilleuse Greta Thunberg a eu cent fois raison de qualifier ces conférences annuelles COP des cirques.
Elles sont d’ailleurs aussi des foires commerciales et les lieux de
tous les lobbyings. Elles noient les gouvernements disposés à agir au
milieu de ceux qui freinent et de ceux dont on ne peut rien espérer
comme les pays pétroliers. L’unanimisme de ces conférences a pour
fonction d’éviter ce que les capitalistes appellent la distorsion de la concurrence :
il faut universaliser les politiques afin d’éviter que, sur le marché
mondial, les pays qui agissent soient concurrencés avec succès par ceux
qui n’agissent pas mais s’économisent le coût des mesures efficaces.
Cela repose donc sur l’idée que la lutte contre le réchauffement
climatique est défavorable aux affaires.