BFM Business le 20 juillet
Le cap des 500.000 signatures sur le site de l'Assemblée nationale ouvre
la voie à une discussion sur la pétition en séance publique, mais pas
au réexamen de la loi Duplomb ni à son abrogation.
Commentaire : Fin
de l'article, en contradiction avec la présentation du sujet selon
laquelle il ne serait plus possible de rien faire : La députée écologiste des Deux-Sèvres Delphine Batho demande quant à
elle à Emmanuel Macron de ne pas promulguer la loi. "Le président de la
République avait dit qu'il n'était pas content d'un certain nombre de
reculs concernant l'écologie, il a là une occasion de joindre la parole à
des actes concrets", a-t-elle déclaré.
Il
faut aussi rappeler aux médias du système, qui veulent nous enfermer
dans la revendication d'un débat vain à l'Assemblée Nationale, que les
revendications de la pétition sont :
Par cette pétition, je demande :
- Son abrogation immédiate ;
- La révision démocratique des conditions dans lesquelles elle a été adoptée ;
- La consultation citoyenne des acteurs de la santé, de l’agriculture, de l’écologie et du droit.
- Son abrogation immédiate ;
- La révision démocratique des conditions dans lesquelles elle a été adoptée ;
- La consultation citoyenne des acteurs de la santé, de l’agriculture, de l’écologie et du droit.
Quant à la présidente de l'Assemblée Nationale, elle nous ouvre les portes de l'impasse : Loi Duplomb : Yaël Braun-Pivet se dit favorable à l'organisation d'un débat à l'Assemblée