Médiapart ( Mickaël Correia ) le 14 novembre
Premières victimes du chaos climatique et criblés par la dette, les
États africains ont durant les premiers jours de négociations martelé
une même antienne diplomatique : en finir avec les engagements non tenus
des pays riches et partir de Belém avec des financements suffisants
pour s’adapter à la surchauffe planétaire.