Médiapart (Jade Lindgaard) le 07 décembre
Rare décision de justice. Un ancien sous-traitant d’Orano a obtenu la
reconnaissance de sa maladie professionnelle. Mais tenu dans l’ignorance
de sa contamination, il n’a pas bénéficié des examens dont il aurait eu
besoin. Son cas éclaire les défaillances du suivi de la santé des
prestataires de l’atome.