Bloom le 27 mars
La
tenue du sommet « SOS Océan ! », organisé à Paris par Emmanuel Macron
les 30 et 31 mars, en amont de la 3ème Conférence des Nations Unies sur
l’océan qui aura lieu en juin, aura au moins eu un mérite : forcer le
gouvernement à clarifier la position qu’il allait défendre sur la scène
française et internationale en matière de protection de l’océan… Cette
clarification fut émise le 21 mars par la ministre de la transition
écologique Agnès Pannier-Runacher… et ce n’est pas brillant. La ministre
a annoncé qu’elle optait pour une approche de la protection « au cas
par cas », expression reprise des défenseurs des pêches au chalut,
considérées comme les plus destructrices de toutes les méthodes de
pêche.