Transitions & Énergies le 24 septembre
Le
Cloud, la vidéo à la demande, les réseaux sociaux, les webconférence
ont d’ores et déjà changés les habitudes de vie et de travail. La 5G,
l’intelligence artificielle, le blockchain, les cryptomonnaies,
l’internet des objets… vont continuer à le faire. Le problème est que le
numérique et ses infrastructures consomment toujours plus d’énergie,
d’équipements et de matières premières. Un rythme qui n’est pas
soutenable. Et pourtant, les internautes français ne se sentent pas
vraiment concernés par l’impact environnemental du numérique. Ils n’ont
aucune intention de changer leurs comportements et considèrent que ceux
qui doivent agir sont les entreprises et les pouvoirs publics. Un côté
après moi le déluge.